Résumé :
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L’Algérie fait partie des pays méditerranées qui disposent d’importante richesses forestières, mais malheureusement ces richesses sont toujours vulnérables aux incendies de forêt. L’état de Sétif en en fait l’une des zones sensibles d’Algérie, qui est toujours vulnérable aux incendies, notamment dans le nord, ou notre étude s’est avérée sur la forêt de Beni Slimane, qui est considérée comme cette dernière très sensible aux incendies de forêt. Entre l’année 2000-2021, nous avons enregistré 60 incendies avec une superficie totale estimée à 1400,79 hectares. Nous constatons que ces incendies ont laissés de multiples effets, que se soient dans la répartition ou le développement des végétaux ou animaux. Là où l’on trouve de gros dégâts sur le pin d’Alep, le chêne liège et le chêne vert. Nous avons notés la migration des animaux situés dans les zones d’incendies. La cause de ces grands incendies est due à des changements climatiques, notamment l’augmentation des températures, la deuxième cause c’est la faiblesse du système de prévention et de contrôle des incendies.
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