Titre : | Dictionnaire encyclopédique de l'Algérie : culture politique société histoire personnalités lieux événements |
Auteurs : | Achour Cheurfi |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Alger : ANEP, 2007 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-9947-21-319-3 |
Format : | 1 vol. (1230 p.) / ill., couv. ill. en coul. / 25 cm |
Note générale : | Bibliogr |
Langues originales: | |
Index. décimale : | 965 (Histoire de l'Algérie) |
Catégories : | |
Mots-clés: | Algérie : encyclopédie |
Résumé : |
Mercredi 1 Aout 2007 -- Cet ouvrage, le premier du genre en Algérie, est d’une très grandeimportance pour les chercheurs et pour tous ceux qui désirent connaître l’Algérie à travers ses hommes, ses femmes et son histoire. Il nous présente un panorama de l’Algérie avec une rétrospective de 2 000 ans d’histoire.
L’Auteur, Achour Cheurfi, est journaliste et rédacteur en chef depuis de longues années au quotidien El Moudjahid. Il est l’auteur de huit dictionnaires consacrés à l’élite culturelle, à la classe politique et à la révolution algérienne. A Travers plus de 1 200 pages, le lecteur découvrira les biographies de l’ensemble des représentants des élites du pays (intellectuelle, artistique, politique, économiques, sportive…). Lors d’une vente dédicace, Achour Cheurfi avait déclaré : «Il m’a fallu 20 ans pour arriver à ce résultat. Ce dictionnaire englobe différents aspects de la mémoire et du patrimoine algériens. Cela va de la culture à la politique, en passant par l’histoire, sans oublier les personnalités, les événements et les lieux. Il s’adresse à toutes celles et tous ceux qui s’intéressent au pays et à sa culture. Et à l’évidence, un tel travail ne peut naître d’un seul jet. Il est le résultat d’un processus cumulatif d’informations et de données sur l’Algérie». Achour Cheurfi a publié une dizaine de dictionnaires consacrées aux écrivains, aux musiciens, mais aussi aux artistes peintres, comme celui intitulé le Livre des peintres algériens. Ce dictionnaire de 249 pages englobe près de 1 500 notices représentant des artistes de plusieurs générations, dans les différents styles, sans distinction aucune : des sculpteurs, des céramistes, des calligraphes, des enlumineurs, des miniaturistes, des caricaturistes, des déistes, etc. Le Livre s’ouvre par un poème écrit par un artiste peintre, Moncef Guita : «Peindre !/ Revivre/ Au plus près/ De la vie/ Besoin de certitude ?/ Amère réponse/ Au goût/ De terre salée/». Dans la présentation du dictionnaire, l’auteur évoque les différentes difficultés qu’il a rencontrées lors de l’élaboration de ce livre. Un Travail titanesque qui a nécessité beaucoup d’adresse, un esprit de synthèse, une bonne organisation et de la patience si l’on veut faire montre d’une certaine objectivité. «En dressant ces biographies, l’une des difficultés a été sans doute de faire en sorte que la vie et l’œuvre d’un artiste soient saisies en quelques lignes, parfois en quelques mots, ce qui crée un déséquilibre certain entre les notices elles-mêmes, certaines paraissant plus fournies et mieux élaborées que d’autres.» Achour Cheurfi, en sa qualité de journaliste informé sur l’actualité, aborde aussi la question du budget réservé à la culture ; il note : «La part que représente le secteur de la culture dans le budget de l’Etat n’a jamais dépassé, depuis 1962 à ce jour, 0,12 %. C’est dire l’effort qui reste à entreprendre, à tous les niveaux, pour que l’intérêt pour la culture dépasse le stade du discours. L’auteur donne également un aperçu général sur les arts plastiques en mettant l’accent avant tout sur l’art traditionnel, considéré jusqu’à présent comme art domestique, à l’image de la poterie, la céramique, le tissage, la sculpture sur bois, le travail du fer, le travail du cuivre et de l’argent, qui font partie du patrimoine algérien. Concernant la peinture, il cite les premiers peintres algériens qui, chacun à sa manière, ont créé un genre particulier où l’Algérien peut s’identifier, comme M’hamed Issiakhem, Mohamed Racim, Mohamed Khadda, Abdellah Benanteur, Mohamed Louail, Ali Khodja, Choukri, Mesli et autres. Achour Cheurfi est né en 1955 à Mila. Il est journaliste, poète et nouvelliste. Il s’est spécialisé ces dernières années dans l’élaboration de dictionnaires biographiques. La plupart d’entre eux sont consacrés aux hommes de culture : Dictionnaire des musiciens et interprètes algériens, Mémoire algérienne, la Classe politique algérienne de 1900 à nos jours, Ecrivains algériens. Achour Cheurfi a débuté le domaine littéraire, en publiant deux recueils de poèmes intitulés Cornaline et Chahla, suivis de Danse infidèle. Il a écrit également deux recueils de nouvelles : la Maison maudite et la Colombe du Président. Les œuvres d’Achour Cheurfi sont toujours les bienvenues du fait de leur richesse. |
Côte titre : |
L8/23834-23836 L8/26072-26077 Armoire(4) N.36-41 |
Exemplaires (11)
Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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L8/23834 | Livre | Bibliothèque centrale | Disponible |
L8/26078 | Livre | Bibliothèque centrale | Disponible |
L8/26079 | Livre | Bibliothèque centrale | Disponible |
L8/26072 | Livre | Salle des revues | Exclu du prêt Exclu du prêt |
L8/26073 | Livre | Salle des revues | Exclu du prêt Exclu du prêt |
L8/26074 | Livre | Salle des revues | Exclu du prêt Exclu du prêt |
L8/26075 | Livre | Salle des revues | Exclu du prêt Exclu du prêt |
L8/26076 | Livre | Salle des revues | Exclu du prêt Exclu du prêt |
L8/26077 | Livre | Salle des revues | Exclu du prêt Exclu du prêt |
L8/23835 | Livre | Univ. Sétif 2 | Transféré Exclu du prêt |
L8/23836 | Livre | Univ. Sétif 2 | Transféré Exclu du prêt |
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