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Titre : | Enquète ethnobotanique et inventaire des plantes médicinale dans la region de Bni Ourthilan et valorisation des deux plantes médicinales |
Auteurs : | Nouh Lebbad, Auteur ; Lounes Makala, Auteur ; Wafa Nouioua, Directeur de thèse |
Type de document : | document électronique |
Editeur : | Sétif : Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie, 2024 |
ISBN/ISSN/EAN : | MS/1839 |
Format : | 46 Feuilles |
Langues: | Français |
Catégories : | |
Mots-clés: | Région de Beni Ourthilon ; Enquêtte ethnobotanique ; Urtica urens ; Urtica dioica ; Activité antioxydant ; Activité anti-inflammatoire. |
Résumé : |
Les plantes médicinales demeurent encore une source de soins médicaux dans les pays en voie de développement, en absence d’un système médicale moderne. Le recoures à la médicine à base des plantes et profondément ancré dans notre culture, car l’Algérie est réputée par la richesse de sa flore médicinales qui comprend des certaines d’espèces végétales. Dans le cadre d’inventoriassions et la quantification des plantes médicinales : savoir ethnobotanique et d’usage traditionnels, des recherches floristiques ont été menées sur les taxons d’est d’Algérie et plus précisément dans la région de Bni Ourthilan (Sétif-Algérie-). Dans la première partie de cette optique, une enquête ethnobotanique (250 personnes), réalisées à l’aide d’un questionnaire, a permis de collecter un certains nombres d’informations sur l’utilisation des plantes par la population locale. Les résultats de cette étude ont montré que les femmes utilisent plus les plantes que les hommes (64%). L’étude de la flore médicinale a permis de compter 101 espèces appartenant à 49 familles (les Lamiacées sont les plus fréquentés). La feuille constitue la partie la plus utilisée (34%). La majorité des remèdes est préparée sous forme d’infusion et décoction (43% et 17% respectivement). Dans la seconde partie, l’étude comparative des extraits des feuiles des deux plantes Urtica dioїca et Urtica urens a montré que le rendement d’extraction le plus élevé a été obtenu par l’espèce urens (8.4%). Les taux des polyphénols totaux et des flavonoïdes ont été déterminés par la méthode de Folin-Ciocalteu et le chlorure d'aluminium respectivement. Ainsi, les deux extraits d’Urtica dioїca et urens sont plutȏt pauvre en ces composés. L'évaluation du pouvoir antioxydant a été réalisée en utilisant la méthode de piégeage du radical DPPH, et le potentiel antioxydant le plus élevé est obtenu avec l’extrait d’Urtica dioїca (IC50 = 3.041 ± 0.75 μg/mL). Pour le test de l’activité anti-hémolytique, l’extrait d’Urtica dioїca a donné la plus grande activité (IC50 = 2.76 ± 0.23 μg/mL) comparé à l’extrait d’Urtica urens (IC50= 2.83 ± 0.3 μg/mL). Les résultats obtenus suggèrent que les deux plantes possèdent un potentiel d'application dans différents domaines, notamment dans les domaines thérapeutiques et nutritionnels. |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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MS/1839 | BE/CD 81 | DVD et CD | Bibliothèque SNV | Français | Disponible |